J’ai testé : le casque NACA Gravity XP

J’ai testé : le casque NACA Gravity XP

De nombreuses marques de casques sont disponibles sur le marché. Chaque cavalier(ère) a sa préférence selon ses propres critères de sélection: look, utilisation, prix… Depuis quelques semaines, nous testons le casque NACA Gravity XP.

NACA est une marque française qui se développe de plus en plus dans le milieu équestre et nous étions vraiment curieuses de pouvoir tester ce produit qui semble se démarquer des autres pour plusieurs raisons.

1.⁠ ⁠Le look 

Le design des casques NACA fait qu’on les reconnait tout de suite. Quand j’ai ouvert la boite et découvert le casque de couleur “rubis prune”, j’ai été agréablement surprise. Moi qui suis habituellement assez “classique” dans mes choix de couleurs, j’ai trouvé celle-ci à la fois différente de ce qu’on voit tout de temps et vraiment belle. Leurs choix de couleurs, motifs et rendus sont originaux tout en restant élégants. La visière magnétique permet de choisir la taille de visière que l’on souhaite mettre selon l’utilisation ou même l’humeur du jour.

2.⁠ ⁠Le confort

Dès qu’on prend ce casque dans la main, la première chose que l’on remarque, c’est sa légèreté. C’est un point particulièrement agréable lorsque l’on monte un ou plusieurs chevaux par jour. 

Quand on voit la jugulaire en carbone, on a tendance à imaginer que ça va être “gênant” parce qu’on a pas l’habitude d’avoir quelque chose de rigide qui passe à cet endroit. Mais ce n’est pas du tout le cas. Une fois que l’on a compris comment bien mettre le casque – en écartant légèrement la jugulaire qui reste assez “souple” quand on tire dessus – et de fermer la boucle magnétique (qui, par son système innovant, change nos habitudes), on est naturellement bien dedans. Dès la première séance, je me suis sentie particulièrement à l’aise avec et je peux même dire que maintenant, j’apprécie la sensation de rigidité de la jugulaire. C’est certainement ça qui apporte plus de stabilité à ce casque, comparé aux modèles dont on avait l’habitude jusqu’à maintenant. Un détail qui peut compter, je fais partie des cavalières à la tête plutôt ronde (selon que l’on a la tête plutôt ronde ou plutôt ovale, on se sent parfois plus ou moins bien dans certaines formes de casques). 

Les “canaux de ventilation” placés à l’arrière du casque apportent un vrai confort. Lorsque l’on enlève le casque, même si on a eu chaud certains jours (ce qui est inévitable), on n’a ni les cheveux, ni la nuque humides de transpiration. Que ce soit sous la pluie ou par grosses chaleurs, ce modèle assure un confort optimal.

La mousse intérieure du casque (qui permet de trouver précisément le confort voulu, selon la taille et la forme de tête de chacun) est interchangeable et lavable en machine. Même si le casque est vraiment très respirant, si on monte plusieurs chevaux pendant plusieurs jours de grosses chaleurs, pouvoir laver facilement la mousse intérieure du casque si besoin est un vrai plus au niveau du confort quotidien. 

Pendant longtemps, de nombreux cavaliers laissaient leur casque au placard en dehors des compétitions pour des raisons de confort. Trop lourd, trop chaud, trop serré…  Il faut bien admettre que les casques n’étaient pas toujours très agréables à porter. Cela s’est amélioré depuis quelques années et ce modèle NACA Gravity est une vraie réussite dans l’amélioration de tous ces points.

3.⁠ ⁠La sécurité

Évidemment, tous les modèles de casques NACA répondent largement aux exigences des normes obligatoires. La visière magnétique est également un atout pour la sécurité, car au moindre choc, elle se détache. 

4.⁠ ⁠Fabrication française et personnalisation

Fabriqués dans leurs ateliers en France, les casques NACA peuvent être personnalisés. Grâce à leur configurateur en ligne, vous pouvez imaginez le casque dont vous rêvez et le commander. Et si vous avez envie d’avoir plus de choix de visière, vous pouvez également commander une (ou plusieurs ) visière(s) personnalisée (s) pour pouvoir varier les plaisirs selon les jours !

Après plusieurs semaines d’utilisation, je dois avouer que je suis conquise par ce casque. J’ai l’impression de ne même plus le sentir quand je monte. Pour ce qui est de son / ses point(s) faible(s), franchement, je cherche toujours… 

Prix : de 539 € à 1 059 € (selon les modèles)

Le site : https://nacahelmet.com

J’ai testé : le licol Marpezia

J’ai testé : le licol Marpezia

Le licol est un équipement indispensable du cavalier ou de l’éleveur. Il existe dans différentes matières, couleurs et qualités. Nous avons découvert la marque Marpezia cette année, au CSIO de La Baule. Créée en 2021, c’est une marque 100% française. Tous les produits sont fabriqués en France, en collaboration avec des artisans proches de leur atelier en Haute-Savoie. En parlant avec sa créatrice, on sent l’envie de créer un produit de qualité tout en travaillant de façon à avoir un faible impact environnemental, ce qui devient une démarche de plus en plus importante.  

Depuis quelques semaines, nous avons testé le licol en biothane Stravinsky poulain évolutif. La collection Stravinsky, ce sont des articles en biothane doublés cuir hauts-de-gamme. Dès qu’on le prend en main, on sent tout de suite que c’est une matière de qualité. À la fois solide et souple, on a tout de suite envie de faire confiance à ce produit. Les boucles en acier nickelé sont solides et parfaitement proportionnées pour les petites têtes de nos chers poulains. 

Avec ses trois points de réglages (un à la têtière, l’autre à la sous-gorge et le dernier au niveau de la muserolle), il s’adapte facilement à l’évolution du poulain durant les premiers mois. Grâce à sa doublure en cuir au niveau de la têtière, il est vraiment confortable et ne laisse pas de trace de frottement. 

On le laisse donc sans crainte pendant plusieurs heures durant les premières sorties au pré du poulain, pour pouvoir le rattraper plus facilement au moment de le rentrer. La mini-longe Stravinsky (25cm) est également parfaite pour cette utilisation. Elle permet de pouvoir manipuler facilement le poulain à pied si besoin. On peut la laisser accrochée même au pré sans aucun risque, encore une fois pour faciliter la manipulation au moment de rentrer le poulain.

Visuellement, le biothane garde le côté élégant du cuir. Les coutures blanches sur ce modèle caramel donnent un petit côté chic en plus. Un point important, il ne demande pas d’entretien quotidien et se nettoie facilement avec de l’eau (et un peu de savon si besoin en plus). Depuis que nous l’utilisons, il semble vraiment bien vieillir. Il supporte aussi bien la poussière de l’été que la pluie des jours humides. 

À chaque fois que quelqu’un de notre entourage a vu ce licol depuis que nous l’utilisons, il nous a demandé ce que c’est. Il attire tout de suite l’œil et à l’utilisation, nous ne sommes pas déçus, au contraire. Pour notre test, nous avons choisi une couleur “classique”, mais il faut souligner la diversité et l’originalité des couleurs proposées par Marpezia  pour tous leurs produits !

Les +

  • ⁠  ⁠La qualité
  • ⁠  ⁠La légèreté
  • ⁠  ⁠La facilité d’entretien
  • ⁠  ⁠La fabrication française
  • ⁠  ⁠Le choix de couleur (camel, bleu électrique, violet, military, rose, turquoise, noir et noir avec coutures bleu canard)
  • ⁠  ⁠La possibilité d’ajouter une plaque gravée en commandant sur le site

Les – 

  • ⁠  ⁠Le prix, qui est être élevé pour certains budget (mais qui est tout à fait justifié car on sait que produire en France et avec des matériaux de bonne qualité, cela a un coût)
  • ⁠  ⁠Même s’il est évolutif, il peut devenir un peu petit en quelques mois si vous avez un grand poulain

Le prix : 129,90 € (licol et mini-longe)

Toutes les infos sur le site : www.marpezia.com

J’ai testé : le démêlant Brush On de chez Stübben

J’ai testé : le démêlant Brush On de chez Stübben

On continue les tests sur les produits de soin du quotidien et aujourd’hui on parle démêlant sur Cavaletti Mag !
Démêlants, lustrants, avec ou sans paillettes, à base d’huile ou d’eau, bref : les options sont nombreuses pour les crins et la robe de votre cheval.

Après avoir reçu, testé et validé les guêtres Hybrid de la gamme Stübben, c’est le démêlant Brush On à la fleur de cerisier que nous avons reçu, et testé dans la foulée.

Développé sur une base d’eau, le démêlant Brush On Fleurs de cerisier promet un démêlage rapide des crins, de la brillance et du volume. Sans rinçage, il garantit de prévenir la formation de nœuds pendant plusieurs jours après application.
Il peut également être appliqué sur la robe, et permettrait de détacher les traces d’un simple coup de brosse.

Disponible en plusieurs parfums – fleurs de cerisier (tout rose), rose&thé vert (violet) ou encore tournesol (jaune) – le démêlant est présenté en plusieurs formats : 500mL en spray, 1L en recharge et 2,5L en recharge.
Ainsi, le petit format permet une prise en main facile, avec un spray pistolet à large diffusion (type produit fenêtre, spray conique), et les recharges permettent de remplir ce spray régulièrement.

Ceci étant dit, qu’en est-il vraiment de ce produit indispensable du quotidien ?

Notre avis

Aussitôt reçu, aussitôt testé pour le concours du lendemain.
Tout d’abord, on apprécie directement le petit format du spray, qui permet d’avoir un démêlant léger, pratique à transporter, et à accrocher ou à ranger dans un sac de pansage.
J’applique quelques sprays sur la queue – 5 ou 6 tout au plus – et laisse agir 2/3 minutes avant d’attaquer : quelle agréable surprise de constater que je ne sens quasiment aucune résistance des crins lors du démêlage ! La queue est tout de suite très brillante et reprend du volume. En effet, il semble que le démêlant sépare vraiment chaque crin, ce qui lui confère forcément plus de volume.
Mention spéciale pour l’odeur du produit, qui donne instantanément un air de printemps et de propre à votre cheval !

J’applique ensuite du produit sur mon bouchon pour en appliquer sur la crinière – le cheval testeur a une vraie peur des sprays – le produit reste tout aussi efficace, et je démêle la crinière sans difficulté.

Enfin, j’applique un peu de produit sur des zones salit par du crottin, notamment sur la cuisse : la saleté part facilement. En revanche, difficile de dire si les tâches partent aussi car le cheval est noir. Ce qui est sur, c’est qu’il brille de mille feux !

Attention toutefois à ne pas appliquer de produit sur le dos car l’effet lustrant se sent vraiment et votre tapis reculera. Idem pour la crinière et vos rênes ! Je ne constate aucun effet collant du produit, et je ne ressens pas le besoin de me laver les mains après l’application.

Le lendemain, je reprends directement ma brosse à crin, et attaque la queue : le produit est encore actif et je n’ai pas besoin d’en réappliquer pour démêler les crins. L’effet durera 3 jours complets.

Niveau prix, comptez 12,90€ pour le format 500mL, 18,90€ pour la recharge de 1L et 39,90€ pour la recharge de 2,5L.

C’est donc un produit validé, qui est déjà devenu un indispensable pour briller sur les terrains !

J’ai testé : le mors i-Bride

J’ai testé : le mors i-Bride

Ils sont présents dans bon nombre de selleries, on les voit aussi beaucoup sur les réseaux et sur les concours : aujourd’hui, on vous parle des fameux mors i-Bride.

La composition des mors i-Bride

Les mors i-Bride sont composés de 3 couches :

  • Un noyau central qui permet d’apporter l’information de vos mains vers votre cheval. C’est ce noyau central qui détermine la flexibilité du mors.
  • L’âme du mors, assimilable au squelette, rend le mors ergonomique ! Cette ergonomie respecte la morphologie de la bouche du cheval grâce à une meilleure répartition des points de pression.
  • Une couche de recouvrement, fonctionnant comme les muscles, qui permet de varier l’amorti des mors. La matière de recouvrement utilisée dans la conception des mors i-Bride est issue de l’innovation médicale. L’Adéliane est une matière brevetée et déposée par i-Bride, qui présente de nombreuses qualités : en effet, elle est hypoallergénique, confortable, amortissante, biocompatible (= semblable à une matière vivante, acceptée par l’organisme).

Retrouvez tous le détail de la technologie i-Bride ici.

La technologie i-Bride en deux mots : amorti + flexibilité

L’innovation permet de choisir entre 6 canons aux propriétés distinctes : 2 flexibilités et 3 amortis.

L’articulation interne de ces mors est plus ou moins flexible. La flexibilité, c’est la capacité du mors à s’arrondir face à l’action de la main du cavalier
A savoir : en fonction des canons i-Bride Flex + ou Flex -, les zones sollicitées dans la bouche seront différentes.
Les Flex + joueront plutôt sur les barres, tout en libérant la langue : on les apparente à un mors brisé.
Les Flex – quant à eux, ne joueront pas sur les barres mais sur la langue, comme un mors droit.

Pour chacune de ces flexibilités, nos canons se déclinent en 3 amortis. L‘amorti, c’est la capacité du canon i-Bride à absorber l’intensité de l’action des mains du cavalier. Ainsi, le mors agit directement sur la stabilité, la réactivité, le dynamisme et l’intensité des actions de main. Les chocs sont absorbés, et le confort du cheval optimisé.

Dernier point intéressant : vous pouvez acheter les mors i-Bride classiques, équivalents à un mors à anneaux, ou les mors Easy Ride, qui ne sont en fait que la partie qui va dans la bouche du cheval + des boucles interchangeables.

Aide au choix du mors i-Bride

Détails sur le montage Easy Ride

Notre expérience i-Bride

Suite au premier contact par téléphone avec la fondatrice de la marque qui a vraiment pris le temps de nous exposer la naissance du projet, la fabrication ou encore la technologie, nous avons rencontré une partie de l’équipe lors du Jumping de Bordeaux 2024. Après quelques questions sur le cheval testeur, nous décidons ensemble de tester le mors Medium Flex + : en gros, c’est le mors i-Bride qui s’apparente le plus à un mors classique en simple brisure, ce que le cheval testeur a au quotidien. La comparaison sera donc facilitée.

A ma grande surprise, pas de taille pour les mors i-Bride : ils se règlent grâce à des rondelles (les fameuses rondelles bleues) plus ou moins épaisses. Mon cheval ayant une taille assez standard, cela ne pose aucun problème. Pas sûre en revanche qu’un poney puisse avoir un mors i-Bride suffisamment à sa taille, malgré plusieurs rondelles.

Je repars du Jumping avec un mors Medium Flex +, que j’essaie dès le lendemain sur mon cheval. Nous ne détaillerons donc pas ici les mors Easy Ride et leur branches interchangeables, que nous n’avons pas pu tester. Un grand point fort au niveau des rondelles qui restent bien en place et ne glissent pas vers le centre du mors : cela rend la mise en bouche très simple malgré leur présence.
Mon cheval prend toujours bien le mors, mais en plein hiver, son mors classique est froid. Ici, grâce à la matière du mors i-Bride, pas de signe d’inconfort lié au froid du mors.

Première séance sur le plat, les codes sont là, le cheval est bien, mastique et salive, l’expérience est concluante. Il semble décontracté sur la main, et à l’aise.
Le lendemain, petite séance de cavalettis : à nouveau le cheval est aux ordres, le contact et l’équilibre sont bons.

Je reviendrai aux écuries 4 jours plus tard, pendant lesquels le cheval a travaillé avec le mors. A mon retour, j’entame ma séance en carrière, avec un cheval un peu frais, et je remarque que j’ai plus de difficultés à le reconcentrer et à le tenir à l’endroit où il s’inquiète. J’insiste un peu, et finis par laisser sur un temps un peu meilleur que le reste de la séance, sans toutefois avoir un cheval très coopératif. Bon, ça arrive.

Puis, la semaine suivante, j’emmène le cheval à l’extérieur le temps d’un week-end. C’est la première sortie depuis la fin de la pause hivernale : il est frais, un peu anxieux. A nouveau, la première séance va être compliquée, le cheval est très tendu et je ne parviens pas à retrouver mes codes avec lui. Le lendemain, je remets son mors habituel en acier, et je sens que je le tiens plus qu’avec le mors i-Bride.

Après 3 semaines d’essai, voilà ma conclusion :
Le mors i-Bride est sans aucun doute plus confortable pour le cheval, qui le prend sans hésiter. Il reste à bonne température en hiver, les rondelles restent bien en place, je n’ai aucun difficulté à le mettre dans la bouche de mon cheval.
A l’usage, il est très bien de manière ponctuelle, pour affiner une bouche parfois un peu dure, quand le cheval est bien disposé et attentif, notamment grâce à sa composition plus proche de la nature organique de la bouche de mon cheval. Néanmoins, les jours d’excitation, j’ai eu une vraie difficulté à reconcentrer mon cheval sur le mors i-Bride, qui semblait trop accepté et un peu oublié par mon cheval.
Je garderai donc mon mors en acier pour gérer les jours de grande énergie ou de stress, lorsque la bouche se durcit et la concentration s’amoindrit. A voir après quelques mois si je peux réintroduire le mors i-Bride les jours de stress…

Les mors i-Bride, ça coûte combien ?

Niveau prix, comptez 138€ pour un mors i-Bride classique, peu importe la flexibilité ou l’amorti choisi(e), 126€ pour les canons Easy Ride sans boucle, et entre 123€ et 180€ pour les boucles en acier inoxydable (Verdun Pelham, Bride, Releveur, Baucher… il y a de quoi vous satisfaire).

www.ibridehorse.com/

J’ai testé : le baume réparateur par Nutragile

Petite plaie, irritation, dermite, échauffement, piqûres d’insectes… les petites altérations de la peau sont régulières et peuvent survenir en toute saison, c’est pourquoi il est indispensable d’avoir dans son sac de pansage une crème ou un baume réparateur.

Après avoir testé plusieurs produits de la marque Nutragile, nous nous penchons aujourd’hui sur leur baume réparateur. Présenté dans un contenant au format bien pratique, ce baume peut être emporté partout facilement, notamment lors des déplacements en concours par exemple.

Une composition 100% naturelle, basée sur une synergie d’éléments choisis avec attention

C’est à nouveau un produit 100% naturel qui nous est présenté : base beurre de karité et cire d’abeille + plantes aux diverses vertus en teinture, en extrait ou en huile essentielle. En bref, voilà les différentes actions de chaque composant :

Le beurre de karité hydrate, nourrit, répare et protège : la peau est nourrit, les irritations sont calmées, la cicatrisation naturelle est soutenue et la régénération peut se faire d’elle même, y compris en cas d’exposition aux UV (idéal l’été donc).

La cire d’abeille nourrit la peau, hydrate et laisse un film protecteur après l’application. La peau est donc plus souple, plus douce, plus résistante.

L’huile de colza nourrit, hydrate et apaise les inflammations.

La prèle aide à la cicatrisation des tissus, en jouant notamment sur l’élasticité de la peau et en hydratant.

Le calendula (ou souci) calme et apaise la peau.

L’ortie purifie, assainit, désinflamme, détoxifie et régule la peau.

La lavande purifie, assainit, et désinfecte.

L’arbre à thé (qu’on ne présente plus) désinfecte, désinflamme, en plus de ses propriétés anti parasitaires, antivirales et immunostimulantes.

A l’usage, ça donne quoi ?

Bien qu’un peu solide, le baume fond très vite au contact de la peau : il suffit donc de chauffer un peu la matière avec le doigt, pour pouvoir récupérer du produit. Nous avons testé le produit sur des commissures un peu sèches, au mois de Novembre. Après une seule application, la peau était hydratée, nourrie, et avait retrouvé sa couleur initiale.

Par ailleurs, nous avons également pu tester le baume réparateur en alternance avec le cataplasme d’argile réparateur, sur un cheval qui présentait des plaques sur la tête liées à la présence de poux. Là où le cataplasme avait purifié la peau, il était nécessaire d’utiliser le baume gras pour redonne de l’élasticité à la peau. A nouveau, le baume a été très efficace.

Niveau prix, on est sur quelque chose de très correct : 21,60€ TTC pour un pot de 200g qui dure un bon moment. Le baume réparateur existe aussi en 500g, pour 36€.

A nouveau, Nutragile sait nous convaincre par la qualité de ses produits, et nous fidéliser.