J’ai testé : le nouveau tapis Diamond par Greenfield
Le tapis, ou l’élément qui influence tout un look en concours, ou même à la maison. Bon nombre d’entre nous les collectionne, pour leur couleur originale ou leur coupe, et ils sont parfois très nombreux dans nos casiers. Mais comment différencier un bon tapis parmi tous ceux présents sur le marché ?
Aujourd’hui, Cavaletti Mag teste pour vous le petit dernier de chez Greenfield Selection : le Diamond en bleu mystique.
Déjà familière des produits de la marque Greenfield, l’équipe Cavaletti Mag est ravie de pouvoir tester les nouveaux modèles en conditions réelles.
Disponible en 3 coloris originaux, le tapis Diamond donne une très bonne première impression. La ligne de dos semble bien coupée, le garrot bien dégagé et le tapis présente une épaisseur idéale, plus importante que sur les modèles précédents, tout en restant raisonnable pour ne pas ajouter trop d’épaisseur entre la selle et le cheval.
Côté tissu, on remarque au toucher un effet déperlant qui donne un aspect plus qualitatif qu’un simple tapis en coton. (Dommage que la composition ne soit pas disponible dans le descriptif du site web !). Les passages de sangle tombent juste et au bon endroit, et il n’y a pas d’attaches en nylon autour du garrot (qui, reconnaissons le, nous enquiquinent plus qu’autre chose).
La partie interne est en nid d’abeille, un indispensable pour la gestion de la transpiration que l’on retrouve sur la majorité des tapis de sport aujourd’hui.
On aime particulièrement le travail de double coutures qui forment le motif Diamond, contrairement aux Diamond habituels qui n’ont généralement qu’une couture.
Et à l’utilisation, ça donne quoi ?
Dès le lendemain, c’est en selle que l’équipe Cavaletti Mag a testé le tapis Diamond de chez Greenfield.
Premier constat : le tapis pose bien sur le dos, la ligne de dos et le garrot sont bien dégagés. Une fois la selle posée, on confirme que les passants de sangle sont correctement positionnés, ni trop en avant, ni trop derrière.
Après une séance de 45 min, le tapis n’a pas bougé et est toujours bien à sa place. Le cheval n’est pas plus mouillé qu’avec ses tapis habituels, la transpiration a traversé le tapis et le côté externe est mouillé sous la selle, au niveau des quartiers.
Aux utilisations suivantes, même constat à chaque fois : le tapis reste bien en place, pas de transpiration excessive.
Attention toutefois au bord blanc, qui se salit assez rapidement avec le frottement des rênes.
Le tapis passe en machine à 30 degrés, séchage à plat à l’air libre, et retrouve sa couleur initiale sans trop d’effort, y compris pour récupérer le blanc. On note tout de même que le tapis est un peu moins rigide après deux lavages, à voir dans le temps si il conserve quand même sa forme et sa tenue.
Côté prix, on retrouve le tapis Diamond de chez Greenfield à 55€, très accessible donc pour un tapis de cette qualité.
Le tapis Diamond existe en bleu mystique, vert menthe et lavande, en taille Full.